Écrite pour les percussionnistesbelges et français Jean-Louis Maton et Jérémy Morel, cette pièce a été crééedurant l’été 2006 lors des «rencontres et stagesautour des percussions» de la ville d’Arques (France).
L’instrumentation de cette piècefait appel à une partie de vibraphone solo, quatre timbales et quelques métauxdont cymbales et tam-tams.
Élaborée au Centre de Rechercheset de Formation Musicales de Wallonie (en collaboration avec Jean-Marc Sullon),la partie électronique est constituée de séquences préenregistrées déclenchéesen concert au moyen d’un contrôleur MIDI par un troisième musicien présent surscène avec les percussionnistes.
La forme est constituée àplusieurs reprises de «gestes» hétérogènes des différentsinstruments (y compris de l’électronique) qui finissent par se fondrent en untout homogène, créant par là, un timbre global et coloré ainsi que denombreuses ambiguïtés dues aux sons électroniques parfois très proches descouleurs instrumentales.
Comme dans la plupart de mesautres pièces récentes, il est ici question de complémentarité de couleurs etde timbres entre les différents instruments et les sons électroniques. Cettecomplémentarité est amenée progressivement par étapes et rebondissementsdynamiques pour aboutir à un statisme harmonique relatif et faussementméditatif.
Pièce pour deuxpercussionnistes et électronique
Écrite pour les percussionnistesbelges et français Jean-Louis Maton et Jérémy Morel, cette pièce a été crééedurant l’été 2006 (? à vérifier?) lors des «rencontres et stagesautour des percussions» de la ville d’Arques (France).
L’instrumentation de cette piècefait appel à une partie de vibraphone solo, quatre timbales et quelques métauxdont cymbales et tam-tams.
Élaborée au Centre de Rechercheset de Formation Musicales de Wallonie (en collaboration avec Jean-Marc Sullon),la partie électronique est constituée de séquences préenregistrées déclenchéesen concert au moyen d’un contrôleur MIDI par un troisième musicien présent surscène avec les percussionnistes.
La forme est constituée àplusieurs reprises de «gestes» hétérogènes des différentsinstruments (y compris de l’électronique) qui finissent par se fondrent en untout homogène, créant par là, un timbre global et coloré ainsi que denombreuses ambiguïtés dues aux sons électroniques parfois très proches descouleurs instrumentales.
Comme dans la plupart de mesautres pièces récentes, il est ici question de complémentarité de couleurs etde timbres entre les différents instruments et les sons électroniques. Cettecomplémentarité est amenée progressivement par étapes et rebondissementsdynamiques pour aboutir à un statisme harmonique relatif et faussementméditatif.
Pièce pour deuxpercussionnistes et électronique
Écrite pour les percussionnistesbelges et français Jean-Louis Maton et Jérémy Morel, cette pièce a été crééedurant l’été 2006 lors des «rencontres et stagesautour des percussions» de la ville d’Arques (France).
L’instrumentation de cette piècefait appel à une partie de vibraphone solo, quatre timbales et quelques métauxdont cymbales et tam-tams.
Élaborée au Centre de Rechercheset de Formation Musicales de Wallonie (en collaboration avec Jean-Marc Sullon),la partie électronique est constituée de séquences préenregistrées déclenchéesen concert au moyen d’un contrôleur MIDI par un troisième musicien présent surscène avec les percussionnistes.
La forme est constituée àplusieurs reprises de «gestes» hétérogènes des différentsinstruments (y compris de l’électronique) qui finissent par se fondrent en untout homogène, créant par là, un timbre global et coloré ainsi que denombreuses ambiguïtés dues aux sons électroniques parfois très proches descouleurs instrumentales.
Comme dans la plupart de mesautres pièces récentes, il est ici question de complémentarité de couleurs etde timbres entre les différents instruments et les sons électroniques. Cettecomplémentarité est amenée progressivement par étapes et rebondissementsdynamiques pour aboutir à un statisme harmonique relatif et faussementméditatif.
Pièce pour deuxpercussionnistes et électronique
Écrite pour les percussionnistesbelges et français Jean-Louis Maton et Jérémy Morel, cette pièce a été crééedurant l’été 2006 (? à vérifier?) lors des «rencontres et stagesautour des percussions» de la ville d’Arques (France).
L’instrumentation de cette piècefait appel à une partie de vibraphone solo, quatre timbales et quelques métauxdont cymbales et tam-tams.
Élaborée au Centre de Rechercheset de Formation Musicales de Wallonie (en collaboration avec Jean-Marc Sullon),la partie électronique est constituée de séquences préenregistrées déclenchéesen concert au moyen d’un contrôleur MIDI par un troisième musicien présent surscène avec les percussionnistes.
La forme est constituée àplusieurs reprises de «gestes» hétérogènes des différentsinstruments (y compris de l’électronique) qui finissent par se fondrent en untout homogène, créant par là, un timbre global et coloré ainsi que denombreuses ambiguïtés dues aux sons électroniques parfois très proches descouleurs instrumentales.
Comme dans la plupart de mesautres pièces récentes, il est ici question de complémentarité de couleurs etde timbres entre les différents instruments et les sons électroniques. Cettecomplémentarité est amenée progressivement par étapes et rebondissementsdynamiques pour aboutir à un statisme harmonique relatif et faussementméditatif.