Dans ce programme aristotélicien, la musique concrète est représentée par une rare interprétation de La reine verte de Pierre Henry. Mais nous entendrons également comment Henry a influencé des compositeurs ultérieurs tels que le néerlandais Jos Smolders.
Les esthétiques acousmatiques suédoises et argentines sont représentées par des œuvres des titans Åke Parmerud et Beatriz Ferreyra, tandis que la musique du Français Aurélien Godderis-Chouzenoux apporte un parfum du sous-continent indien à la soirée.
Les œuvres des jeunes compositeurs Lucie Grésil et Vincent Simionovici nous placent à l’avant-garde de l’acousmatique et la soirée s’achève sur la musique d’Elizabeth Anderson.
PROGRAMME :
JOS SMOLDERS : « L’Oreille (c)ouverte » (2017-2022) (création belge)
PIERRE HENRY : « La reine verte » (extraits) (1963)
LUCIE GRÉSIL : « La fluite » (2022)
VINCENT SIMIONOVICI : « Nimbus » (2022)
ÅKE PARMERUD : « Louder than Life : Adagio » (2020-2021)
AURÉLIEN GODDERIS-CHOUZENOUX : « A journey through the prism of an Indian love story » (2020)
BEATRIZ FERREYRA : « Un fil invisible » (2009)
ELIZABETH ANDERSON : « Solar Winds » (2012)