Vendredi, février 2, 2024

Concert au Boudoir de la Tricoterie

 

Ve 2 février 2024 à 20h30

La terre nous est étroite

 

Composition caléidoscopique de Jean-Marie Rens autour de textes du poète palestinien Mahmoud Darwich.

Un petit ensemble sur mesure chevauchant les genres et les références au service d’une musique contemporaine – elle vient d’être écrite ! qui ouvre une porte inédite au « contempo ».

On suit les méandres de ce grand poème musical dont on comprend absolument tout sans avoir fait d’études de musicologie.

La famille Rens est sur scène, circuit court dont Fichtre est friand.

L’initiative vient du clarinettiste Philippe Saucez (qu’on a déjà pu entendre au Boudoir) en soutien aux réfugiés Syriens et en évocation de tous les drames de l’exil et du déracinement dont l’actualité est brûlante.

Pierre Gillis à l’organisation et l’intendance.

Un chef-d’œuvre – je ne mâche pas mes mots ! – à ne pas manquer

 

Denis Menier, direction / Soumaya Hallak, soprano / Jean-Michel Vovk, récitant / Juicy : Julie Rens, voix et Sasha Vovk, voix / Elise Rens, alto / Suzanne Vermeyen, violoncelle / Pascale Simon, flûte / Philippe Saucez, clarinette / Rémy Gouraud, percussions / Tarek Malki, guitare et bouzouk

 


 

 

 

La Terre est étroite pour ceux que la brutalité de notre monde injuste et mortifère projette sur les routes de l’exil. Les drames qu’ils vivent sont indicibles, mais peut-être l’art peut-il transcender les sentiments extrêmes qui en émergent. La poésie et la musique ont cet extraordinaire pouvoir, celui d’établir un lien fort entre les protagonistes de ces histoires tragiques et ceux qui ne les ont pas vécues, mais ont le cœur suffisamment grand pour y faire une place aux écorchés du monde. 

Jean-Marie Rens a intégré dans cette composition magistrale « sérieuse » musique contemporaine européenne et musique traditionnelle proche-orientale, jazz, soul et hip hop, chants et instruments classiques et traditionnels.

Sur scène : le duo Juicy rappeuses jazzy ou jazzeuses rappy, intégré dans un sinfonieta hybride.

La cantatrice Soumaya Hallack, défend des textes d’exilés « quotidiens » comme celles et ceux que nous côtoyons et du Palestinien Mahmoud Darwich. 

 

Une production du programme d’accueil aux étudiants réfugiés de l’UMONS, avec le soutien de l’ULB

 
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