Une œuvre de relativement grande dimension construite en 7 parties -Prélude, Kyrie, Dies Irae, Urupfu, Sanctus, Agnus Dei, Épilogue. Il y a trois langues : le latin, le français et le rwandais. La partie centrale, Urupfu (la Mort), se réfère aux événements tragiques du Rwanda, en 1994. Elle fait appel à un poème original de Charles Karemano, écrivain rwandais, et elle contient des extraits d'une lettre, écrite en français, par une très jeune Rwandaise au destin tragique. S'y introduit aussi un Hostias et un Libera nos. L'Épilogue se conclut sur un vers du poète belge Henry Bauchau: “Le chant de l’alouette ne vieillit pas”. »
Une œuvre puissante, où s’entrelacent à merveille voix humaines et instrumentales et qui s’exprime dans les registres de la révolte, de la colère, du désarroi, plutôt que dans celui de l’imploration.
pour choeur mixte et ensemble instrumental
choeur mixte, 3 saxophones, 2 cors, 1 trompette, 1 trombone, 1 tuba, 2 percussions, 1 accordéon, 1 alto,
1 violoncelle, 1 contrebasse